FOOTBALL - Il y a 64 ans, la «Seleção» s’était inclinée en finale p la première Coupe du monde qu’elle jouait à domicile…
P notre correspondant à Rio p Janeiro
Qu'il est loin ce premier Mondial brésilien p 1950. On sort p la Seconde Guerre Mondiale, Pelé est encore not gamin, trois des 16 qualifiés ne feront pas le déplacement et la compétition se déroule en deux phases p poules successives. Soixante-quatre ans, c'est loin, mais le Brésil ne l'a jamais oublié. Parce qu'il a perdu une finale qu'il aurait dû gagner contre l'Uruguay et cette victoire aurait consacré la nouvelle nation brésilienne: c'est le «Maracanaço», la tragédie du Maracanã.»Retrouvez tous l'ensemble des articles sur la Coupe du monde componen ici
A l'arrivée, «ce n'est tout simplement pas seulement une défaite footballistique, c'est l'échec d'un projet p la nation brésilienne qui voulait s'imposer sur la scène internationale sophistication à la Coupe du monde», explique à twenty minutes Ronaldo Helal, sociologue et professeur à la Faculté p communication sociale p l'Université p l'Etat p Rio p Janeiro. Le président Getulio Vargas, qui avait imposé boy «Etat nouveau» aux allures p dictature pendant huit ans (1937-1945), n'était pas encore revenu au pouvoir, mais l'ensemble des nouvelles formes p conception du pays étaient alors bien ancrées, notamment celui p la démocratie raciale.
Le football brésilien, not style «européen avec un peu de samba»
Dans le domaine du football au Brésil, ce sont le grand chroniqueur sportif Mario Filho - qui a laissé boy nom au Maracanã - et boy ami le sociologue Gilberto Freyre qui l'ont consacrée, ce dernier décrivant le football brésilien en 1938 comme «mulâtre», soit not style «européen avec un peu de samba», cite Ronaldo Helal. Mais la démocratie raciale rêvée dont le football était not vecteur veterans administration exploser lors p la finale Brésil-Uruguay p 1950. Parce que le gardien brésilien, Moacir Barbosa, est noir et qu'il ne (...)
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